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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 09:05

Thème : protéger l’unité de l’église

Ecritures : Jean 17 : 20,22-23 ; Ephésiens 1 :22-23 ;

Vérité fondamentale : Dieu a mis toutes choses sous les pieds de Christ.

 

Jésus nous a donné la clé pour gagner le monde.  Il a demandé au Père de nous amener à une telle unité les uns avec les autres et avec Lui que le monde saurait qu’Il a été envoyé de Dieu. Ayant reçu  Christ comme  mon Seigneur et Sauveur et ayant été baptisé, étant en accord avec les principes de l’église locale « l’Amour triomphe toujours », je me sens conduit par le Saint-Esprit à munir avec la famille de l’église Rhéma « Eatt ». En faisant cela, je m’engage envers Dieu, et envers les autres membres à faire ce qui suit :

1) Je protège l’unité de mon église ;

2) Je partage les responsabilités de mon église

3) Je me mets au service de mon église ;

4) Je soutiens  le témoignage  de mon église.

Jésus est la Tête de l’Eglise.  Vous et moi, nous sommes les pieds. Nous sommes ceux qui vont prendre Son autorité et Son pouvoir pour marcher sur le péché et la maladie et toute autre manifestation démoniaque sur cette terre.  Nous sommes ceux que Dieu va  utiliser, comme le dit Actes 2 :35, pour faire des ennemis de Jésus, Son marchepied.  C’est ce que Jésus nous a dit, lorsqu’Il a commandé « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création…imposez les mains aux malades…chassez les démons « (Marc 16 :15-18). Il disait : « Allez et soyez Mes pieds ». Il disait : « Tout pouvoir M’a été donné, sur la terre et dans le ciel. Utilisez-le donc pour soumettre le diable ».

Jésus attend que nous avancions avec Sa puissance, que nous remettions le diable à sa place, et que nous gagnions le monde. La Bible dit qu’un seul peut en mettre mille en fuite et que deux peuvent en mettre dix mille en fuite. Chaque fois que nous nous mettons ensemble, nous augmentons notre force de façon considérable. Si nous pouvions seulement nous mettre ensemble (après les réunions du dimanche 13 mai 2012 avec tous les membres de petits groupes et le dimanche 20 mai 2012 avec les chefs de petits groupes, et aujourd’hui avec tous les membres de l’église), réaliser qui nous sommes, et comprendre que nous sommes les pieds de Jésus, nous pourrions facilement jeter Satan hors des affaires de cette terre. Jésus a enlevé ses droits légaux à Satan au matin de la résurrection. Puis Jésus nous a mis en position de responsabilité pour acheter la défaite de Satan.  Les Ecritures nous disent que Jésus est allé s’asseoir à la droite du Père, jusqu’à ce que tous Ses enfants soient devenus Son marchepied (Hébreux 10 : 12-13). Savez-vous ce que cela signifie ? Il s’attend à ce que nous profitions de la victoire qu’Il a acquise au Calvaire, et que nous occupions le terrain. Aussi, si aujourd’hui, le diable tient le contrôle d’un domaine de votre vie ou de votre église ou de votre communauté, levez-vous dans l’Esprit par la foi, , dans la prière et dans la Parole de , et commencez à reprendre  ce territoire. Ne vous effrayez pas, Ses défenseurs sont vaincus, il n’a aucune arme qui peut tenir contre vous. Le Seigneur est avec vous. Levez-vous au Nom de Jésus, et reprenez le territoire qui est à vous !  Tous ensemble, avec joie, louant Dieu. (Actes 2 : 46-47). Ce sont les trois points notés dans ces deux versets. « Ils élevèrent à Dieu la voix TOUS ENSEMBLE, et DIRENT : « Seigneur, toi qui as fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve ». (Actes 4 : 23-24). Il y a quelque chose dans l’adoration de Dieu dans l’unité, il y a quelque chose dans la louange dans l’unité.  Prions selon Matthieu  18 :19. 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 19:32

Thème : est-ce que je suscite de futurs leaders

Ecritures :   1 Corinthiens 4 :15 ; Luc 6 :38

Vérité fondamentale :   Il n’y a pas de succès sans successeur.

 

La clé du succès d’une équipe réside dans la notion de travail d’équipe à laquelle se voue totalement le coach de l’équipe. Le coach sait que pour superviser une équipe et engen-drer des leaders, il faut (1) apprécier ses collaborateurs pour ce qu’ils sont ; (2) croire qu’ils feront toujours de leur mieux ; (3) faire l’éloge de leurs réalisations ; et, (4) reconnaître  sa propre responsabilité en tant que leader. Les grands leaders – ceux qui ont vraiment réussi et qui font partie du 1% au sommet – ont tous une chose en commun. Ils savent que la tâche la plus importante du leader est de recruter les bonnes person-nes et de les garder. Ce sont les gens qui peuvent  accroître la productivité d’une organisation. Ils constituent l’actif principal  d’une organisation. Les systè-mes deviennent désuets ; les édifices ses délabrent, les appareils s’usent.  Par contre, les gens, eux, peuvent grandir, s’améliorer et devenir plus efficaces s’ils ont un leader qui croit en eux. L’idée directrice et le message essentiel de cet enseignement, c’est que vous ne pourrez agir seul.  Si vous voulez vraiment devenir un leader efficace, vous devez former d’autres leaders autour de vous.  Il vous faut mettre sur pied une équipe (la dernière à l’église « l’amour triomphe toujours » c’était le dimanche 13 mai 2012), permettre aux autres de comprendre votre objectif (gagner des âmes à Christ) et travailler avec eux afin de le réaliser. Le leader a une vision mais il a besoin de l’aide d’autres leaders pour qu’elle devienne réalité. Le leader trouve le rêve et ensuite le peuple. Le peuple trouve le leader et ensuite le rêve. Ne mettez pas la charrue avant les bœufs. Les gens ne suivent pas en premier lieu des causes louables. Ils suivent des leaders louables qui soutiennent des causes louables. Les gens adhèrent d’abord au leader et ensuite à la vision du leader. Comprendre cela change toute votre approche sur la manière de mener les gens. Ai-je donné des raisons valables à mes collaborateurs pour qu’ils adhèrent à ma personne ? Si la réponse est oui, ils adhèreront volontiers à ma vision. Il faut que vous incitiez vos gens à adhérer à votre personne. C’est le prix que vous avez à payer si vous voulez que votre vision ait des chances de devenir une réalité. En tant que leader, votre réussite se mesure à votre aptitude à mener les gens  dans la direction qu’ils doivent  prendre. Mais vous n’arriverez à cela que si, d’abord, les gens adhèrent à votre personne en tant que leader. C’est la réalité de la loi de l’adhésion. Les leaders qui s’entourent d’autres leaders, enrichissent beaucoup leur organisation. Non seule-ment ils délèguent leur fardeau, mais leur vision est partagée, soutenue et élargie. Le secret pour vous environner d’autres leaders, c’est de découvrir les personnes les plus susceptibles de devenir, grâce à votre formation, les meilleurs leaders possibles. Les grands leaders engendrent d’autres leaders. Le plus grand investissement que vous puissiez faire est dans les gens. C’est ce que Dieu a fait. Il a investi Son fils dans l’humanité et Il a récolte l’Eglise. Les grands hommes servent et se lavent les pieds des uns des autres. Vous ne deviendrez jamais ce que vous devez être à moins que vous n’appreniez à servir quelqu’un d’autre que vous-même. Si vous me montrez un Elisée qui a fait deux fois plus de miracles que son prédécesseur, alors je vous montrerai un Elie qui consacrait son temps à éduquer son successeur. Il n’y a pas de succès sans successeur. Il n’y a de successeur sans formation et celle-ci sans soumission.

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 19:22

Thème : la foi comme mode de vie

Ecritures : Marc 11 :22-24

Vérité fondamentale : C’est dans la constance que réside la puissance

 

Quelqu’un a dit un jour : « la seconde moitié de la vie d’un homme est faite d’habitudes qu’il a acquises durant la première moitié ». Si nous ne développons pas de bonnes habitudes, nous en développerons de mauvaises. Le cours 201 est centré sur les quatre habitudes de base que doit prendre tout disciple.  1) L’habitude de prendre du temps pour lire la Parole de Dieu ; 2) l’habitude de la prière ; 3) l’habitude de la dîme ou l’offrande ; 4) l’habitude de la communion fraternelle. Prenons le cas de la première habitude qui vous demande de prendre du temps pour lire la Parole de Dieu et la seconde de la prière.

Nous devons prendre le temps d’aller chercher dans la Bible les versets  nous concernant et voir ce que Dieu  nous promet. Nous ne pouvons pas croire en la guérison, en la prospérité ou dans la longévité seulement parce que notre pasteur en a parlé à l’église ou un prédicateur à la télévision. Ça ne marche pas. Considérons la situation sous cet angle : disons que j’ai promis de payer la dette  d’un de vos amis le mois prochain. Votre ami vous appelle, tout heureux et plein d’enthousiasme et vous dit qu’il croit que je vais lui envoyer l’argent. Il saute de joie, confesse sa foi en disant : Je crois que le Pasteur va payer ma dette ! Je le crois et je le reçois ! Et, bien, moi aussi j’aimerais bien que le pasteur  paie ma dette, pourriez-vous vous dire, alors je vais faire la même confession. Cependant, votre confession de foi ne fonctionnera pas car elle n’est pas basée sur la foi puisque je ne vous ai pas promis de payer votre dette. Vous n’avez aucune raison de croire que je ferai quelque chose que je n’ai pas promis de faire en votre faveur.  Il en va de même avec Dieu. Vous ne pouvez pas mettre votre foi en Dieu si vous n’êtes pas convaincu qu’Il vous a fait une promesse. Pour avoir foi dans Ses promesses, vous devez lire  Sa Parole et vous l’approprier.  Vous devez voir de vos propres yeux ce qu’Il vous dit.  Vous devez entendre, avec votre cœur, la voix du Saint-Esprit vous parler  à travers les mots  de la Bible, ‘ainsi dit le Seigneur ! ». Un engagé doit avoir sa bible, la lire, la méditer et apprendre avec les outils biotiques ; rhémiste, nourriture de la foi, de  la santé, lecture biblique etc.Certaines personnes sont mal à l’aise avec le fait  d’appeler les choses par la foi et elles préfèrent simplement prier. La prière, c’est bien, mais Jésus ne nous a pas seulement dit de prier au sujet  des montagnes dressées dans notre existence. Il nous a dit de leur parler. Il nous a dit de les déplacer avec des paroles de foi. C’est là que la majorité de chrétiens ratent la cible. Si une maladie attaque leur corps, tout ce qu’ils font c’est d’en parler à Dieu : « Seigneur, s’il te plaît, guéris-moi ». Prier ainsi  est très bien, cependant, il faut y ajouter la foi, croire qu’on a reçu la guérison en priant. Une fois que c’est fait, nous devons passer à l’étape suivante. Nous devrions exercer notre foi dans la capacité de guérison de Dieu en disant : « Maladie, je te chasse au nom de Jésus. Sors de mon corps, douleur quitte-moi. Je ne t’accueille pas en moi. Corps, tu es guéri, robuste, et libéré de la douleur. Tu es guéri par les meurtrissures de Jésus ». « Mais j’ai essayé de dire ces choses et ça n’a pas marché »,me répondrez-vous, « je l’ai fait une semaine, et je me sentais aussi vieux, et faible à la fin en début de semaine ». Ce n’est pas ce que vous allez proclamer pendant un petit moment qui va s’accomplir, c’est ce que vous dites continuellement. « C’est dans la constance que réside la puissance ». Ce que vous dites continuellement, c’est ce que vous avez dans votre vie. Parlez-vous d’une façon à l’église ou en priant et d’une autre manière lorsque vous êtes avec vos amis ? Proclamez-vous que vous êtes jeune et pleine de force en lisant votre Bible, puis confessez-vous  à vos amis que vous ne tenez pas la grande forme ? Si c’est le cas, vous n’aurez pas de percée surnaturelle, car vos paroles négatives annuleront les positives. Vous ferez du surplace spirituel, vous n’avancerez pas vite. Pour obtenir des résultats, vous devez changer de vocabulaire. Vous devez être déterminés  à partir de maintenant à prononcer des mots qui oeuvreront en votre faveur. C’est la puissance spirituelle des mots selon Marc 11 :22-24.

Décidez de vivre selon ce passage biblique. Osons croire et agir selon Sa Parole  qui dit que quiconque parle avec foi, obtiendra ce qu’il dit.

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 19:20

Thème : trouver votre mission

Ecritures : 2 Corinthiens 13 :5

Vérité fondamentale : Les gens sont à l’église pour atteindre les objectifs de Dieu.

 

Les organisations qui con-naissent le plus de succès ont adopté l’une ou l’autre de ces missions : 1) résoudre un problème ; 2) répondre à un besoin.  Une mission reliée à la résolution d’un problème ou à la satisfaction d’un besoin, jumelée au désir de servir le plus de gens possible, est à la base des organisations les plus florissantes. La mission arrive en premier, et il y a ensuite l’équipe et l’individu. Le monde ne serait-il pas meilleur si nous étions tous habités par cers croyances fondamentales ? La mission du Dr Kapitao est de gagner des âmes. Le but du plus grand des commandements (adoration et ministère) et de la plus grande des missions (évangélisation, communion fraternelle et formation des disciples), c’est de gagner des gens à Christ. Comment une église peut-elle s’évaluer elle-même ? Non pas en se comparant à d’autres églises, mais en posant ces questions : « Faisons-nous ce que Dieu attend que nous fassions ? (Quel est votre travail)» et « Le faisons-nous correctement ?       (Comment le faisons-nous ?). Telles sont les deux questions les plus importantes à se poser pour évaluer notre église. L’objectif de votre église doit devenir la norme qui vous permettra de mesurer la santé et la croissance de votre assemblée. Une église peut être grande et forte, ou grande et faible à l’intérieur. De même, une église peut être petite et forte, ou petite ou faible. Etre grand n’est pas forcément mieux, et être petit n’est pas forcément mieux. Etre mieux,  c’est mieux être solide et être sain, et être engagé pour les objectifs de Dieu La question principale est celle-ci : Votre église sera plus forte et en meilleure santé si elle est dirigée par objectif. Là où les églises semblaient être les plus solides, c’était des églises où le pasteur était là depuis plusieurs années, parfois 15 ou 20 ans ou même plus. Une église est saine lorsque Dieu utilise toutes sortes de personnes, toutes sortes de personnalités, et toutes sortes de programmes différents , si les gens sont engagés à accomplir les plans de Dieu. La chose la plus importante dans une église, ce sont les objectifs de Dieu. Si on ne s’efforce pas d’atteindre les objectifs de Dieu, alors on ne forme pas une église. Donc, les objectifs viennent en premier. Ils sont le motif de nos passions, le sujet de nos prières et la raison de nos efforts. Ils existent selon l’importance que nous leur donnons. Les objectifs sont la chose la plus importante. La deuxième chose qui est importante dans l’église, ce sont les gens, le peuple de Dieu. . Si les gens sont la chose la plus importante dans votre église, alors, c’est un club ou une organisation lucrative ; mais ce n’est pas l’église de Dieu. Les gens sont là pour atteindre les objectifs de Dieu. La troisième priorité pour chaque église, ce sont les programmes c’est-à-dire les activités, les événements, les études bibliques et les cours que vous planifier pour aider les gens à atteindre les objectifs. Et puis en dernier lieu, il y a le local, le lieu de rencontre. Le plus important, c’est d’avoir des personnes qui veulent atteindre les objectifs de Dieu. Si vous agissez ainsi, cela plaît à Dieu, votre église sera saine et la croissance se produira automa-quement. Il n’y a pas qu’une seule clé à la santé et à la croissance de l’église. Il est important d’avoir une perspec-tive plus large de l’église dans son ensemble qui reconnaît l’importance d’équilibrer les cinq objectifs. L’équilibre entre les cinq objectifs apporte la santé au Corps de Christ, l’église. Que Dieu vous bénisse.

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 19:12

Thème : que faut –il encore dire ?

Ecritures : Marc 12 : 29-31,34

Vérité fondamentale : Il n’y a pas qu’une seule clé à la santé et à la croissance de l’église.

 

JOHN MAXWELL a dit : « les personnes les plus proches du leader détermineront le degré de son succès ». Mais en contrepartie, l’inverse peut être tout aussi vrai. Les personnes les plus proches du leader détermineront le degré de son échec. En d’autres termes, elles feront ma fortune ou ma ruine. Mon but n’est pas d’attirer des foules, mais plutôt de former des leaders qui créeront le mouvement. Le potentiel de croissance d’une organisation dépend directement du potentiel de son personnel. Une entreprise ne peut prendre de l’expansion tant que ses leaders ne progressent pas eux-mêmes. Il relevait de ma responsabilité de les former et de les aider à effectuer les changements nécessaires afin d’atteindre le nouvel objectif fixé. Je savais que, dès que les leaders commenceraient à s’améliorer, la croissance s’amorcerait automati-quement. Je devais alors les aider à changer eux-mêmes car, sans cela, il me faudrait les remplacer par d’autres. Même si le nombre changeait ( de 300 à 1.000 membres),le principe, lui, restait le même. La force d’une organisation est directement proportionnelle à la force de ses leaders. Des faibles leaders donnent une organisation sans rigueur et inefficace. Des leaders forts donnent une organisation forte et puissante. Tout dépend du leadership.  A  présente que je suis plus âgé, , et que j’ai davantage d’expérience, je réalise que je faisais les choses à l’envers. Maintenant j’engage d’abord les personnes en fonction des critères de capacité et d’expérience. Voilà pourquoi :  En ce qui concerne le talent et l’habileté, un individu peut progresser que peu à la fois.  Un individu  dont l’attitude au départ n’est pas ce qu’il y a de mieux, peut arriver à retourner la situation.  La compétence, l’expérience et une attitude positive sont une combinaison de réussite.

WARREN BUFFET a dit : « Faites en sorte de travailler avec des gens que vous appréciez et qui vous  ressemblent, cela contribue à vous rendre heureux au travail ».

DONALD TRUMP : Ce que tout le monde veut savoir, c’est comment devenir riche. En résumé, si vous voulez devenir riche, soyez passionné (aimer ce que vous faites, c’est de trouver ce que l’on a vraiment envie de faire) et efficace (l’efficacité est l’utilisation productive du temps, avoir une limite temporelle est un moyen formidable de faire travailler son cerveau plus efficacement comme cette communauté de moines ayant un nombre d’heures déterminé pour chaque tâche, ; lorsque la cloche sonnait, ils devraient immédiatement s’arrêter et passer à la suivante. Cette combinaison passion et efficacité a marché pour Donald Trump., Travaillez avec des gens comme vous. Si vous pouvez réunir autour de vous un noyau dur composé de gens que vous appréciez et qui comprennent vos exigences et vos besoins, vous avancerez dans la bonne direction.

ROBERT KIYOSAKI dit : « La meilleure façon de constituer une équipe consiste tout d’abord à se pencher sur les cinq fonctions reliées au triangle P-I. Il n’est pas nécessaire que les membres de votre équipe, aient une participation  dans l’entreprise, mais vous devez rassembler autour de vous des gens compétents pouvant remplir toutes les fonctions.  Si tu veux rassembler la meilleure équipe autour de toi, tu dois également exceller dans un domaine (la formation des disciples , leaders pour Coach Dr Kapitao, le cash-flow). Si vous voulez réussir dans le quadrant P, vous devez exceller à l’un des paliers du triangle P-I, et ensuite rassembler autour de vous une équipe de spécialistes qui rempliront toutes les autres fonctions.

RICK WARREN  a dit : « La force d’une église ne s’évalue pas par rapport au nombre d’auditeurs  qui assistent aux services (la foule) mais par rapport au nombre de personnes qui servent dans le noyau. Trouver une personne qui a le caractère et les compétences appropriées à cette tâche. Nous ne jugeons pas simplement d’après le caractère ou les compétences ; nous recherchons la passion pour un des objectifs de l’église. Les gens qui sont passionnés par ce qu’ils font sont très motivés. Si je devais démarrer une nouvelle église aujourd’hui, je commencerais par recruter cinq volontaires pour cinq postes bénévoles. Votre église ne sera nullement plus forte que son noyau de serviteurs bénévoles qui exécutent les divers ministères de l’église. Si vous libérez les gens pour le ministère et que vous les dégagez des tâches administratives, vous créerez une église bien plus heureuse, et bien plus harmonieuse, avec un meilleur moral. La satisfaction vient de l’exercice du ministère et non de l’administration. Le noyau, il s’agit d’une minorité d’équipiers et de responsables consacrés, qui se sont engagés à servir les autres à travers un ministère. Le noyau est le secret de notre force. Si je devais mourir soudainement, Saddleback conti-nuerait à grandir grâce à cette base de 1500 serviteurs. Le noyau est envoyé vers la communauté.

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 19:09

Thème : briser les barrières

Ecritures : Genèse 22 :7-8 ; Matthieu 14 : 27-31 ; Marc 11 :23 ; Hébreux 13 :8

Vérité fondamentale : Une seule parole suffit pour changer les circonstances.

 

La Bibledit : « Tout est dans le Nom de Jésus ». Quand on prie, on confie son problème au Seigneur et on lui confie en même temps tous les droits pour le régler. Il s’agit aussi de croire en Sa promesse et de lui faire  confiance jusqu’au bout. Lors-que Dieu fit la promesse à Abraham, ce dernier ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu parce qu’il savait que notre Dieu est fidèle. La Bible dit : «Il fut fortifié par la foi ». Le doute est la plus grande barrière dans la vie de beaucoup de chrétiens. Le doute est le plus grand ennemi de la foi. Il y a aussi la peur. Même quand on demande à Abraham d’offrir son fils en holocauste, il avait toujours la foi (croire). Dans Genèse 22 :8, il est écrit : « Abraham répondit : Mon fils, Dieu se pourvoira Lui-même de l’Agneau pour l’holocauste et Dieu en a pourvu. La Bible dit dans Jean 14 :13-14 : « Et tout ce que vous demanderez en mon Nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Dans la vie, tu rencontreras toujours des obstacles, des barrières. La seule chose à faire pour y faire face est de les briser parce que tu as le Nom de Jésus qui t’a été donné. La Bible dit qu’au nom de Jésus, tout genou fléchisse et toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur. Et dans Hébreux 4 :3, la Bible dit que pour nous qui avons cru, nous sommes entrés dans le repos. Ce qui a manqué à Pierre d’arriver jusque là où était Jésus, c’était la peur. Jésus l’a qualifié de l’homme de peu de foi. Il faut savoir affronter les problèmes. Jésus a dépouillé les dominations et les autorités et les a livrées publiquement en spectacle en triomphant d’elles par la croix (Colossiens 2 :15). Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas (Jérémie 1 :19). « Si je vis, ce n’est plus moi qui vis, mais c’est Christ qui vit en moi ». (Galates 2 :20).  « Je n’aurai aucun problème, ni aujourd’hui, ni dans l’avenir, car je laisserai agir le Seigneur «  (1 Samuel 17 :47). L’échec dans la vie de beaucoup de chrétiens est qu’ils cherchent à savoir d’où viennent les problèmes qu’ils rencontrent. Où aurais-je  cet argent par exemple ?  Les problèmes sont partout et tout le monde en a.  Personne n’est à l’abri  des difficultés de la vie. Ce n’est pas l’argent qui  va protéger les gens  des problèmes. Ni le niveau social, ni les talents, ni un bon métier.  Si vous êtes  un être humain et que vous respirez, vous êtes voué  à avoir des problèmes. La majorité voit  les obstacles,  la minorité vit les objectifs. Les problèmes ont une solution. Les problèmes sont une partie normale  de notre vie.  Les problèmes nous rendent meilleurs. Moïse avait élevé le serpent d’airain et toute personne qui l’avait regardé, était guéri. Fixons nos regards sur Jésus, l’auteur et le consommateur de notre foi. La puissance de Jésus-Christ n’est pas limitée à une époque quelconque, mais elle se manifeste à n’importe quelle époque envers tous ceux qui croient en Lui.  Vous avez besoin d’un miracle dans votre vie maintenant. S’agit-il d’une montagne de problèmes de famille ou d’argent ? S’agit-il d’un enfant rebelle ? S’agit-il d’une force invisible qui vous rempli de crainte ? Désirez-vous ardemment recherchez-vous un miracle ?  Tu peux recevoir un miracle de Dieu. Dieu est un faiseur de miracles.  Jésus-Christ  est le même hier, aujourd’hui et éternellement (Hébreux 12 :8). L’âge des miracles n’avais jamais existé, mais il y a un Dieu de miracles, et Il ne change jamais !

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 18:07

Le succès, c’est ce que vous avez déjà fait. Les gens se sont rendus compte du succès que vous avez eu dans la tâche que vous avez assumée dans le passé et ils vont commencer à vous inviter à parler à ce sujet. Ils veulent entendre ce que vous avez à dire parce que vous avez déjà eu du succès. Le succès, c’est connaître votre but dans la vie, vous développer pour atteindre votre potentiel maxi-mum, et semer des graines qui profiteront aux autres. Je crois que Dieu a créé chaque personne dans un but précis. Tout le monde a sa propre vocation particulière ou sa propre mission dans la vie. Tout le monde doit assumer l’exécution d’une tâche qui exige d’être accomplie. Chacun de nous a un but pour lequel il  a été créé. Notre responsabilité est de le découvrir. La réalisation des objectifs de Dieu (5 objectifs éternels) et non les nôtres), est le chemin de l’accomplissement personnel. Le succès vient lorsque le développement de notre potentiel donne des résultats. Le potentiel est le reflet de ce que vous pouvez devenir, une personne d’influence.  La destinée, c’est quelque chose à accomplir. Si vous pouvez la réaliser, c’est la compétence.  Le talent, c’est avoir quelque chose que vous savez bien faire (compétence). Nous avons un potentiel qui est presque illimité, et pourtant un trop petit nombre d’entre nous essaient de le développer. Nous pouvons faire n’importe quoi, mais nous ne pouvons pas faire tout. Nous devons être des gens à faire peu de  choses, concentrés sur une seule, se consacrant vraiment à notre véritable but. Si vous essayiez de devenir exactement comme Bill Gates avec sa richesse, Albert Einstein avec son intelligence, Donald Trump avec son sens des affaires ou Mère Teresa avec son cœur, vous ne réussiriez pas. Vous seriez une mauvaise imitation, et vous élimineriez la possibilité de devenir la personne que vous êtes destinés à devenir. La richesse, la notoriété, la situation et le pouvoir ne sont pas du tout des mesures du succès. La seule mesure du succès est le rapport entre ce que nous aurions  pu être  et ce que nous sommes devenus. Le succès vient lorsque le développement de notre potentiel donne des résultats. Au moment ou une chose a été faite ou accomplie, elle cesse d’être un potentiel. Le potentiel n’est jamais ce que vous avez fait. C’est toujours ce que vous pouvez faire et que vous n’avez pas encore fait. Et c’est ce que le cimetière accueille. N’acceptez pas de mou-rir prématurément sans réaliser tout ce que vous êtes nés pour accomplir. Jésus-Christ est  mort à l’âge de 33 ans. Il était jeune. Il est mort vide de tout potentiel. Il a dit : Tout est accompli, c .à .d fini.

 Voici quatre principes pour vous mettre  sur la route qui vous permettra de développer votre potentiel :

1) Concentrez-vous sur un but principal.

Pour atteindre son but,  il faut se focaliser.

2) Concentrez-vous sur l’amé-lioration continuelle.

L’engagement vers l’amélioration continuelle est la clé qui vous permet d’atteindre votre potentiel et de réussir.

3) Oubliez le passé

N’oubliez pas que, quoi que vous ayez dû subir par le passé, vous avez le potentiel pour surmonter ce que vous avez subi. Si vous avez besoin d’inspiration, pensez aux autres personnes qui ont surmonté des obstacles apparemment insur-montables.  Chacun d’eux : Edison, Albert Einstein,  Hellen Keller, Robert Kiyosaki) a surmonté d’incroyables difficultés pour accomplir de grandes choses. J’apprécie hautement cette citation de Robert Kiyosaki, auteur de Père riche, Père pauvre qui est : « Parfois vous gagnes et parfois vous apprenez ». C’est le signe d’une grande attitude. Vous ne perdez jamais – vous apprenez ! Tirez des leçons de vos erreurs ;

4) Concentrez-vous sur l’avenir.

Votre potentiel est devant vous. Vous pouvez devenir meilleur demain que vous ne l’êtes aujourd’hui. Plantez des graines qui profiteront aux autres. Ceux qui font la différence comprennent que les réussites de chaque jour devraient être mesurées non à la moisson qu’ils récolteraient mais aux graines qu’ils sèment.

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 07:25

Thème : la compétence, l’expérience et une attitude positive

Ecritures : 1 Corinthiens 11 :31-32 ; 1 Pierre 4 :10

Vérité fondamentale : La compétence, l’expérience et une attitude positive sont une combinaison de réussite.

 

Si vous pensez pouvoir accomplir une tâche, c’est de l’assurance. . Si vous pouvez la réaliser, c’est de la compétence. Les deux sont nécessaires pour la réussite. Il est découvert aujourd’hui que l’incompétence a un effet très négatif sur le personnel d’une organisation. Quand la performance d’un membre de l’équipe n’est pas au niveau de ce que l’on atteint de lui, même si l’attitude de ce  dernier est très bonne – alors le directeur ainsi que les autres membres de l’équipe ne peuvent plus se concentrer sur leur tâche, ces derniers devant passer un temps précieux à remettre la personne incompé-tente « sur les rails ». La force de l’équipe est fragilisée par le maillon le plus faible. C’est la loi de la chaîne du travail en équipe. Cela se vérifie dans toutes les équipes. Ce n’est  pas uniquement en adoptant une attitude positive que le problème peut être la plupart du temps résolu. Néanmoins, si la personne faible finit par  se mettre à la hauteur de la situation et améliorer rapi-dement ses compétences. Donc, votre attitude ne peut se substituer à votre expérience.  Le problème avec l’expérience est qu’il est rare de la posséder avant d’en avoir besoin. Pour l’expérience, le test est donné en premier et les leçons viennent après. On s’est appliqué à l’époque d’embaucher des personnes avec les meilleures attitudes qui soient et pouvoir les amener à améliorer plus vite leurs aptitudes. A présent qu’on avance à l’âge, (53 ans),, et que l’on a davantage d’expérience, on réalise qu’on faisait les choses à l’envers. Maintenant, à partir du 03 mars 2012, on veut retenir les personnes en fonction des critères de capacité et d’expérience. On recrute que des collaborateurs et dans une entreprise, des employés avec d’excellentes références pour occuper les meilleurs postes de notre organisation, et notre vie du ministère ou professionnelle va changer. Donc, votre attitude ne peut se substituer à votre expérience.. La compétence, l’expérience et une attitude positive sont une combinaison de réussite. L’attitude est sentiment intérieur exprimé par un comportement extérieur. Les Réprimandes Minute est immédiate, c’est-à-dire que vous vous mettez en contact avec la personne concernée aussitôt où vous observez un « mauvais comportement » Il ne faut pas accumuler les impressions négatives au sujet du mauvais travail de quelqu’un. Si la correction n’intervient pas aussi vite que possible après l’erreur, elle ne sera pas aussi utile pour influencer le comportement futur. Quand on fait des Réprimandes Minute, on ne réprimande que le compor-tement et non ses sentiments en tant qu’être humain. L’attitude finit toujours par transparaître au grand jour. Si nous ne nous jugeons pas nous-mêmes, le Seigneur jugera les péchés spirituels qui sont par exemple des motifs et des attitudes cachés. C’est pourquoi, il est important de développer l’amour divin qui purifiera nos motivations.  La compétence, c’est quand on fixe des objectifs, Si vous voulez devenir riche, soyez passionné et efficace. Si on fait une déclaration d’objectif à l’église : amener les gens à Jésus comme membres de sa famille, développer leur matu-rité à la ressemblance de Christ, et les équiper en vue de leur ministère dans l’église et leur mission dans le monde, afin de magnifier le nom du Seigneur, il faut féliciter et réprimander les comportements à la minute. Pour faire équipe avec quelqu’un, vous devez souhaiter la compétence et l’attitude .

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 07:19

Thème : la provision abondante

Ecritures : Matthieu 4 :23 ; Philippiens 4 :19 ;  2 Corinthiens 8 :9

VéritVérité fondamentale : J’honore le Seigneur avec mes dîmes et  mes offrandes et Il pourvoir à tous mes besoins.

 

Il n’est pas toujours facile pour les chrétiens de conserver l’équilibre entre l’évangéli-sation et l’engagement social. Le Seigneur Jésus s’est sans aucun doute occupé des besoins physiques de l’être humain et a enseigné à ses disciples à faire de même. La prédication de l’Evangile est le plus important. Jésus Lui-même en a  souligné l’importance par les paroles suivantes : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez… » (Jean 6 :29).  La propagation de la foi passe avant l’engagement social. Celui qui abandonne tout pour le Seigneur, qui honore Dieu par ses dîmes et ses offrandes (six offrandes de semences à l’Eatt où l’on retrouve les aumônes) n’a pas à se culpabiliser injustement de ne pas contribuer à la cause sociale.  Dieu  veut satisfaire tous nos besoins, TOUS ! Philippiens 4 :19 comprend tous nos besoins (tous veut dire tous), qu’ils soient spirituels, physiques, matériels et financiers. Pour prouver que Dieu s’intéresse à nos besoins financiers, ce verset se trouve dans un contexte qui parle des affaires matérielles et finan-cières.  Les Philippiens avaient fait une offrande d’argent et de biens afin de les envoyer à d’autres chrétiens.  Paul leur disait : « Puisque vous avez donné aux autres, et les avez aidés, mon Dieu pourvoira à tous vos besoins ». De toute évidence, il parlait de besoins matériels et financiers. Par voie de conséquence, nous pouvons prier avec une pleine assurance à propos de l’argent qu’il nous faut pour faire face à nos obligations.  Dieu veut subvenir  à tous nos besoins. C’est une recherche de facilité de désirer que toutes les affaires de finances se règlent par le miracle. Si nous devons nous tenir en garde d’abuser du peuple, nous devons assumer notre responsabilité vis-à-vis  de Dieu qui a donné à Ses serviteurs une part  dans les dîmes et les offrandes. (Nom-bres 10 :35,37,38). Lorsque l’on annonce l’Evangile ou que l’on démarre une église, il faut apprendre à se mettre à la portée des personnes parmi lesquelles on travaille.  Si elles sont faibles dans leurs convictions, facilement médi-santes, il vaut mieux recevoir un soutien de l’extérieur ou si ce n’est pas possible, travailler jusqu’à ce qu’elles grandissent en sagesse, en consécration, etc. Mais si ces personnes n’évoluent pas, cette faiblesse leur sera comptée à la longue comme péché et transgression à l’ordre du Seigneur.(1 Corin-thiens 9 :14). Dans la mesure où il pouvait recevoir un soutien de l’extérieur, Paul ne continuait pas à travailler « pour la gloire », mais immédiatement il reprenait à plein temps son ministère (Luc 10 :7). Nos écoles forment dans bien des domaines, mais il est rare de trouver un cours sur la gestion de l’argent personnel. Dans l’église, on parle aussi de donner la dîme, de faire des dons, de semer et de récolter. On parle aussi de prospérité mais on laisse les personnes à elles-mêmes sur la question de la gestion de leur consom-mation personnelle. La plupart des personnes sont alors profondément influencées par l’esprit de Mammon, et ne comprennent jamais vraiment ce qui leur arrive  à long terme. C’est la raison d’être de l’Ecole des Affaires, pour répondre à cette carence de l’éducation financière.  Etre riche signifie parfaitement approvisionné. Cela parle d’une provision abondante. (Phil 4 :19). Il parle de tous nos besoins. Dieu nous promet l’abondance. De biens matériels, de nourriture, de vêtements, etc., e.a.m de choses matérielles nous seront données par surcroît, et non retranchées.

Que Dieu vous bénisse !


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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 07:15

Thème : l’argent sera tout ce que tu veux qu’il soit

Ecritures :   Osée 4 :6

Vérité fondamentale : Même si bien des gens nourrissent le même rêve, seul un très petit nombre d’entre eux arrivent à le concrétiser.

 

L’argent sera tout ce que  tu veux qu’il soit.  L’argent vient de notre esprit, de nos pensées. Si une personne dit : « Je ne serai jamais riche », ou : « Il est vraiment difficile de devenir riche », ce sera probablement  vrai pour elle. Vous seriez étonné de constater à quel point sont nombreux les gens qui pensent et agissent ainsi. L’argent sera tout ce que tu veux qu’il soit. La préparation mentale requise pour devenir un investisseur averti était proba-blement similaire à la préparation mentale de celui qui s’apprête à escalader le mon Everest. Seuls ceux qui ont gravi une montagne très élevée savent ce qu’il en coûte de parvenir au sommet. On ne gravit pas une montagne comme l’Everest en essayant de relever le défi  tout seul, ou en entrant en compétition avec ses camarades. On le fait lentement et avec précaution, au travail d’un travail d’équipe désinté-ressé.  Le 29 mai 1953, Tenzing Norgay et Edmund Hillary accomplirent ce qu’aucun être humain n’avait fait avant eux : ils parvinrent au sommet du mon Everest, le plus haut du monde !  Tenzing et Hillary auraient-ils pu y arriver seuls ? Sûrement pas ! Y seraient-ils parvenu sans le soutien d’une grande équipe ? En aucun cas. Pourquoi ? Parce que plus l’objectif est élevé, plus grand le travail en équipe est nécessaire. C’est la Loi du mont Everest. Tenzing Norgay qui a toujours gravi cette montagne en compagnie des meilleurs alpinistes, est parvenu au sommet. Un grand rêve, avec une équipe médiocre n’a que trop tendance à tourner au cauchemar. Votre équipe doit avoir l’envergure de votre rêve. Sinon, vous ne parviendrez pas à le réaliser.  si vous souhaitez gravir le mont Everest, vous devez avoir une équipe aussi haute que lui. Il n’y a pas d’autre moyen d’y parvenir. Si vous constituez une bonne équipe, votre rêve se réalisera presque de lui-même. Lorsque l’équipe que vous avez n’est pas conforme à celle de vos rêves, vous avez le choix entre deux options : soit renoncer à ces derniers, soit faire progresser votre équipe. Si vous optez pour la dernière solutions, les conseils à suivre sont : 1) faites progresser les membres de votre équipe ; 2) ajoutez des coéquipiers compétents, 3) modifiez la direction ; 5) retrancher les membres inefficaces. « Si  vous pouvez réunir autour de vous un noyau dur composé de gens que vous appréciez et qui comprennent vos exigences et vos besoins, vous avancerez dans la bonne direction ».

Tu peux commencer sans argent. Tout ce que tu as, c’est de l’argent et le rêve de faire fortune. De nos jours, il y a des millions de gens qui rêvent de quitter leur emploi, de devenir  entrepreneurs et de diriger leur propre entreprise. Le problème pour la majorité d’entre eux, c’est que leur rêve n’est pas qu’un rêve. Il ne devient jamais réalité. Les entrepreneurs ont deux caractéristiques : l’igno-rance et le courage. Beaucoup de gens n’ont ni connaissances ni courage. Il faut du courage pour découvrir son génie, le développer et en faire bénéficier le monde. C’est ce que le Dr Kapitao Mbombe fait actuel-lement à l’Ecole des Affaires en faisant l’éducation financière sans laquelle, les gens ne peuvent convertir l’information qui est le plus grand actif, en connaissances utiles.

 Sans connaissances financières, les gens tirent le diable par la queue.

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  • : Le blog de Dr. Kapitao Mbombe
  • : www.kapitaoministries.org
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  • Evêque Principal Dr. KAPITAO MBOMBE
  • 1. Banalia n°34, Commune de Kasa-Vubu. Administration : Croisement  des Avenues Kasa-Vubu n° 64 et Gambela.

2.Q.Vitamine II n°25 à l’Immeuble  du Groupe  Wilmak en diagonale de l’église catholique Sainte–Marie Madeleine  dans la commune
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E.A.T.T.

1. Banalia n°34, Commune de Kasa-Vubu. Administration : Croisement  des Avenues Kasa-Vubu n° 64 et Gambela.

 

2. Av.Vitamine II n°25,Q.Totaka à l’Immeuble  du Groupe  Wilmak en diagonale de l’église catholique Sainte–Marie Madeleine  dans la commune de Matete.(Réf arrêt pharmacie).

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