Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
/ / /

Formateur : L’Apôtre de Jésus, Dr KAPITAO MBOMBE, Archevêque et Président Provincial ERC/Kin

Leçon du jour :

Vérité fondamentale :

                     

Quand Kapitao Mbombe a pris la direction de l’Eglise du Réveil du Congo pour la ville de Kinshasa le 21 Avril 2007, l’institution était en déroute. En cinq ans, elle avait changé trois fois de président provincial, et elle avait connu la division à plusieurs reprises. Selon le pasteur Kapitao, ils avaient acquis une stratégie de survie : comme l’autruche, ils se mettaient la tête dans le sable.

Kapitao Mbombe entreprend de redresser la situation. Le but de Kapitao était de sauver l’institution, mais il était convaincu que pour y parvenir, il devait change la culture de la l’institution. La clé en serait la communication. Il savait que l’interaction positive pouvait redresser l’institution. S’il arrivait à communiquer, il pensait parvenir à inciter les employés à travailler ensemble pour le bien de l’équipe, des membres et des fondateurs. Ma première démarche consista à ouvrir les bureaux de la direction au reste de l’équipe. Kapitao ouvrit toutes grandes ses portes  du  bureau et de l’église l’amour triomphe et invités les membres à venir dans les locaux de la direction, afin de briser la glace entre les dirigeants et le reste de l’équipe. A l’institution, les lois et les manuels avaient pris la place de la communication et du bon sens.. Le livre des interdictions a été jeté dans une poubelle, arrosé d’essence et on y mit le feu. Le message était clair : à l’institution, tout allait changer.

 

L’institution ne se métamorphosa pas d’un jour à l’autre. En fait, lorsque Kapitao  et x exposèrent leur « plan de bataille », les membres restèrent sceptiques. Mais les dirigeants continuèrent à rencontrer leurs membres, s’engagèrent à leur parler à cœur ouvert et firent preuve de patience. Si les nouvelles étaient bonnes, ils les transmettaient à leur personnel, si elles étaient mauvaises, ils les leurs avouaient franchement. Dans tous les locaux du personnel, ils affichaient des bulletins d’informations qui annonçaient des nouvelles quotidiennes de l’institution, chaque semaine, ils mirent un message vocal à la disposition de tout le personnel de l’institution, ainsi que des nombreuses informations écrites, dont une circulaire mensuelle de nouvelles . Cette institution, jadis caractérisée par la méfiance et le manque de coopération, devint un haut lieu de la communication. La politique de Kapitao, dans ce domaine, était – et est toujours – simple : Tant qu’une information n’est ni dangereuse ni illégale, nous la transmettons. Il fallut du temps, mais peu à peu, l’institution se redressa. Les membres se mirent à faire confiance à leurs dirigeants. Ils commencèrent à travailler main dans la main et à se fier les uns aux autres. Pour la première fois depuis plus de cinq, ils firent équipe. La communication n’était pas la seule raison du succès de l’ERC, mais sans elle, l’institution se serait probablement tuée vers sa deuxième et ultime déclin. Pour instaurer des changements positifs au sein d’une organisation, il faut pouvoir communiquer. L’interaction passe à l’action. Tel est le pouvoir de la Loi de la communication.. C’est seulement à ce prix qu’une équipe peut réussir – que cette équipe soit une famille, une compagnie, un ministère ou un club sportif. Dans les équipes efficaces, les coéquipiers se parlent constamment. La communication accroît l’engagement et l’union, deux facteurs qui poussent à l’action. Si vous souhaitez que votre équipe soit vraiment performante, il faut que vos coéquipiers puissent se parler et s’écouter.

 

Lorsque les gens ne communiquent pas efficacement, les résultats prêtent parfois à rire. Soit une série de communication sur le campus d’une université : a) le président ou vice-président de l’université  b) le vice-président aux chefs de divisions c) l’un des chefs de division aux professeurs d) un professeur aux étudiants e) un étudiant qui écrit à ses parents. On a décrit de façon magistrale une entreprise ou tout le monde fait son possible pour réduire à néant la communication.

Plus les sont à un poste élevé de l’entreprise, plus ils sont bornés. Ceux qui réfléchissent sont punis, ceux qui sont paresseux sont récompensés, et toutes les décisions sont arbitraires. Si vous avez déjà fait partie d’un groupe où aucun coéquipier ne faisait savoir à l’autre ce qui se passait, vous savez à quel point le manque de communication peut être frustrant. L’équipe s’enferre(s’em-brouille) parce que nul ne sait précisément quel est le programme. Des tâches importantes  inachevées parce que chaque coéquipier pense que c’est un autre qui les terminera ou, au contraire, deux personnes effectuent le même travail. Au sein de l’entreprise, des départements sont rivaux, parce que chacun croit que les autres essaient de saboter son travail. La communication se réfère au style et à la portée des interactions parmi les membres, et entre les membres résolvent un conflit, prennent des décisions et dialoguent chaque jour.

 

 

 


 

Un excellent exemple de la complexité – et de l’importance – d’une bonne communication s’observe lorsqu’on examine une équipe de football professionnelle trente secondes avant un match. Le sport est un sport extrêmement complexe, et un observateur superficiel n’a aucune idée de toutes les consignes transmises avant chaque mi-temps. Parfois, c’est encore plus subtil. Les joueurs se transmettent des messages codés à l’aide de signes des mains. Un joueur peut communiquer sans parole une quantité d’information à l’un de ses coéquipiers. Parfois, un quart arrière et un receveur échangent un simple regard, et ils se communiquent ainsi suffisamment d’information pour marquer un but.

 

 

Le succès de votre équipe et les capacités de vos coéquipiers à travailler ensemble dépendent tout autant de la qualité de la communication. Quelques principes qui aideront votre équipe à s’améliorer dans ce domaine. Chaque équipe doit apprendre à développer une bonne communication dans quatre sens :

 

 

Si je devais citer un seul atout indispensable pour un leader, se serait la communication. Tous les succès et tous les échecs dépendent du leader. Mais ce que je ne vous ai pas encore précisé, c’est que le succès ou l’échec du leadership est étroitement lié à la communication. Pour diriger efficacement les autres, vous devez être capable de communiquer.

Si vous êtes à la tête d’une équipe, fixez-vous ces règles de conduite pour communiquer avec vos coéquipiers :

 

 

N’oubliez jamais que comme vous êtes le leader, votre façon de communiquer détermine celle de votre équipe. Tous les groupes sont le reflet de leur dirigeant. D’autre part, souvenez-vous qu’une bonne communication n’est pas à sens unique, et qu’elle ne doit être ni condescendante, ni impérieuse(autoritaire) Les meilleurs dirigeants écoutent, invitent, puis encouragent la participation.

 

 

 

Les bons chefs d’équipe ne veulent pas des gens qui se soumettent aveuglément à toutes leurs paroles, mais plutôt des coéquipiers qui leur parlent directement et franchement. Quelqu’un a dit : « Je veux que mes employés me parlent franchement, même si cela leur coûte leur place ». J’ai toujours encouragé mes coéquipiers à me dire sincèrement ce qu’ils avaient sur leur cœur. Parfois, nous ne sommes pas d’accord, mais ce n’est pas grave, parce que nous avons tissé les liens assez forts pour ne pas nous laisser désarçonner par un conflit. Je ne veux pas m’exposer à entendre un coéquipier me dire un jour : « J’aurais pu vous prédire que votre projet n’aboutirait pas. Si vous le saviez avant, il fallait le dire. Les coéquipiers ne doivent pas seulement être directs : il faut qu’ils fassent preuve de respect. Diriger une équipe n’est pas une sinécure(cela demande des efforts, du travail), mais une tâche difficile, qui exige des sacrifices personnels et, parfois, des prises de décisions ardues, voire impopulaire.  Nous devons respecter  la personne qui a accepté d’endosser ce rôle et faire preuve de loyauté à son égard.

 

 

Peu de gens ont du succès sans qu’une quantité d’autre personnes veuillent qu’ils en aient. Pour qu’une équipe connaisse le succès, tous les coéquipiers doivent faire front pour la bonne cause et présenter les qualités suivantes :

 

 

Ne vous demandez pas ce que vos coéquipiers peuvent faire pour vous, mais ce que vous pouvez accomplir pour eux. Si la communication est basée sur le don et non sur le profit, l’équipe en est considérablement améliorée.

 

 

Des coéquipiers qui rabâchent(répéter souvent et  inutilement la même chose) de vieux problèmes et réouvrent  perpétuellement d’anciennes blessures ne peuvent pas accomplir de bon travail ensemble, et dans cecas, ils sont voués à l’échec. Vous pouvez avoir les gens les plus doués du monde : s’ils ne travaillent pas en coopération, l’équipe ne vaudra pas un sou.

 

 


 

 

Les équipes sont de petites communautés, et elles ne se développent que si les gens qui les composent ne portent pas de masques. Si nous voulons employer le mot communauté à bon escient, nous devons le limier à un groupe d’individus qui ont appris franchement à communiquer à cœur ouvert les uns avec les autres, et dont les relations dépassent de loin les faux-semblants.

Les équipes réussissent ou échouent selon la façon dont leurs membres communiquent entre eux. Martin Luther King a déclaré : « Nous devons apprendre vivre ensemble comme des frères ou à périr ensemble comme des insensés ». Si la communication est profonde, l’équipe peut se lancer dans des projets ambitieux. L’interaction pousse à l’action. C’est, en gros, la Loi de la communication.

 

 

Pour la plupart des équipes, la communication interne n’est pas la seule qui compte. En effet, elles sont en rapport avec l’extérieur, qu’il s’agisse de clients ou d’une autre sorte d’intervenants. Lorsque des gens extérieurs au groupe s’intéressent à eux, les coéquipiers doivent être réceptifs, judicieux et réalistes. S’ils écoutent attentivement les propos de leurs interlocuteurs, qu’ils y répondent avec sagesse et qu’ils font preuve de réalisme rapport à ce qu’on leur dit, tout ira bien, et les intervenants sentiront que leurs messages sont bien reçus.

De plus, lorsque les coéquipiers sont en contact avec des gens qui n’appartiennent pas au groupe, la qualité la plus importante qu’ils doivent manifester est l’unité. Plus les membres de l’équipe sont indépendants les uns des autres, plus cette tâche s’avère difficile : persuader des aigles de voler en formation est une véritable gageure (irréalisme). Et pourtant, le pouvoir de l’unité est extraordinaire. Il y a une puissance inouïe(stupéfiant) dans l’unité.

Lorsque nous organisons un débat, je souhaite que toutes les idées et les critiques soient exposées. Il faut que nous ayons l’occasion de nous exprimer à cœur ouvert. Mais lorsque nous quittons la pièce, nous devons faire bloc, même face à l’opposition ou à la critique. Et nous devons former une équipe soudée. Mais aucune équipe ne travaille ensemble à moins qu’elle ne communique. Il faut de l’interaction pour passer à l’action.  C’est de cette façon que cela fonctionne. C’est la Loi de la communication.  Travailler ensemble veut dire gagner ensemble.

 

 

L’une des histoires les plus remarquables que j’aie jamais entendues concernant la communication et l’esprit d’équipe a eu lieu parmi les prisonniers de guerre américains détenus au Vietnam. Finalement, leur nombre atteignit sept cent soixante-douze, principalement des pilotes. L’ancien prisonnier de guerre Ron Bliss a expliqué : « C’est lorsqu’on est isolé que les vrais problèmes commencent. On doit alors communiquer à n’importe quel prix. Si on est pris et torturé pendant un petit moment, tant pis : il faut le faire.

Les prisonniers travaillèrent ensemble, se transmirent des informations, se serrèrent les coudes et finirent par devenir tellement solidaires qu’ils décidèrent qu’aucun d’eux n’accepterait d’être libéré sans les autres. Les prisonniers aux moins 460 furent libérés car ils ont trouvé et se sont battus pour cela- un moyen de communiquer les uns avec les autres. L’interaction pousse à l’action, et leurs rapports mutuels leur donnèrent la force de tenir bon et de faire bloc ensemble. Telle est la valeur de la Loi de la communication.

Réflexion sur le travail en équipe La communication resserre les liens.

 

 

A quel point vous êtes-vous engagé à communiquer avec les autres membres de votre équipe ? Encouragez-vous tous vos coéquipiers, même ceux avec lesquels vous avez peu d’affinités ? Etes-vous francs et transparent, même si cela vous coûte ? Nourrissez-vous un grief contre l’un de vos coéquipiers ? Si c’est le cas, vous devez régler le problème. S’il subsiste la moindre barrière entre vous et l’un de vos coéquipiers, vous devez l’ôtez. C’est votre responsabilité.

 

 

En tant que leader de votre association, c’est vous qui donnez le son de la communication. Un leader doit être cohérent, clair et courtois ; mais il doit aussi savoir écouter les autres sinon 1) il cesse d’acquérir de la sagesse 2) il n’est plus réceptif aux messages tacites(qui n’est formellement exprimé) 3) ses coéquipiers cessent de se confier à lui 4) leur indifférence rejaillit sur d’autres domaines. En fin de compte, le manque d’écoute, même à l’hostilité, à l’incompréhension et à la rupture de la cohésion de l’équipe. Prenez le temps d’analyser votre attitude. Demandez à votre supérieur ou à votre mentor, à vos collègues et à vos subordonnés s’ils estiment que vous savez les écouter. S’ils émettent des réserves à ce sujet, prenez le temps de vous réformer et apprenez à mieux communiquer.

Partager cette page
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Dr. Kapitao Mbombe
  • : www.kapitaoministries.org
  • Contact

Profil

  • Evêque Principal Dr. KAPITAO MBOMBE
  • 1. Banalia n°34, Commune de Kasa-Vubu. Administration : Croisement  des Avenues Kasa-Vubu n° 64 et Gambela.

2.Q.Vitamine II n°25 à l’Immeuble  du Groupe  Wilmak en diagonale de l’église catholique Sainte–Marie Madeleine  dans la commune
  • 1. Banalia n°34, Commune de Kasa-Vubu. Administration : Croisement des Avenues Kasa-Vubu n° 64 et Gambela. 2.Q.Vitamine II n°25 à l’Immeuble du Groupe Wilmak en diagonale de l’église catholique Sainte–Marie Madeleine dans la commune

E.A.T.T.

1. Banalia n°34, Commune de Kasa-Vubu. Administration : Croisement  des Avenues Kasa-Vubu n° 64 et Gambela.

 

2. Av.Vitamine II n°25,Q.Totaka à l’Immeuble  du Groupe  Wilmak en diagonale de l’église catholique Sainte–Marie Madeleine  dans la commune de Matete.(Réf arrêt pharmacie).

Recherche

Archives

Liens