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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 05:24
Le Rhema du jour : « L’ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère « (Proverbes 17 :17). L’une des clés essentielles pour une vie meilleure est de s’occuper de son bonheur plutôt que de vivre en essayant de plaire aux autres. L’équilibre, ça s’apprend. Nous devons tous apprendre à vivre de manière équilibrée. Après Dieu, c’est vous la priorité. Coach Dr Kapitao Mbombe a appris dans les 15 ans de son ministère, surtout vers la fin, que je dois prendre soin de moi. C’est ma première priorité. Ma famille vient en deuxième. Ce n’est que lorsque la relation du leader avec Dieu est adéquate, et lorsqu’il assume pleinement ses responsabilités familiales, que le leader est en mesure de remplir avec une entière loyauté la mission que Dieu lui a confiée. Il est facile d’endosser un faux sens des responsabilités et de penser que notre tâche consiste à voir au bonheur des autres, à « guérir » un tel, à secourir une telle, ou à résoudre le problème de tel autre. Bien entendu, il est tout à fait noble et admirable de vouloir aider le plus grand nombre possible et il est toujours bon de venir en aide à ceux qui sont dans le besoin. Mais trop souvent, on tombe dans le déséquilibre. On fait tout pour tout le monde, sans prendre le temps de se garder en santé. Un constat que je viens de faire est que lorsque j’essaie de voir au bonheur de mon entourage en m’efforçant de combler tous ses besoins, au bout du compte, c’est moi qui en souffre. Dieu ne vous demande pas de sacrifier votre bonheur pour faire celui d’autrui. Au premier abord, cette idée pourra sembler un peu égoïste, mais un équilibre subtil entre en jeu ici. Votre principale priorité consiste à prendre soin de vous-même. Vous devez donc reconnaître que certaines personnes ne seront jamais heureuses indépendamment de ce que vous ferez pour elles, de votre gentillesse, du temps et de l’énergie que vous leur consacrerez. Elles ont des problèmes personnels à régler ou des difficultés intérieures à résoudre. Vous ne devriez pas assumer la responsabilité des mauvais choix d’une autre personne. Si vous le faites, avant longtemps, cette personne vous contrôlera et vous manipulera. Vous vivez du stress parce que vous laissez quelqu’un ternir votre bonheur – que ce soit votre conjoint, un ami, un enfant, un collaborateur ou un voisin. Ils ne s’amendent pas. Tant que vous laisserez l’autre vous pousser à faire ce qu’il veut, il continuera d’agir de la même manière. Or, la vie est trop courte pour être manipulé et contrôlé par des personnes qui refusent de faire des choix éclairés. Vous devez le comprendre ; vous n’êtes pas responsable du bonheur de autres. Vous êtes responsable de votre bonheur à vous ; c’est tout ! Si quelqu’un vous manipule, ce n’est pas sa faute, c’est la vôtre. Vous devez apprendre à mettre vos limites. Cessez par exemple de lui prêter de l’argent chaque fois qu’il fait de mauvais choix. Qu’il assume la responsabilité de ses actes. Dieu ne vous demande pas d’être malheureux pour faire le bonheur d’un autre. Si vous êtes dans une relation où c’est vous qui donnez, encouragez et secourez constamment votre partenaire, il y a clairement un déséquilibre. Vous êtes une béquille. L’An 2013 est aussi l’année d’équilibre à l’église l’amour triomphe toujours/Rhema. A moins que vous ne procédiez à quelques changements, votre relation continuera de se détériorer. Vous devez prendre position. Pour réduire le stress dans votre vie, identifiez les personnes qui exigent beaucoup d’attention. Elles sont presque impossibles à rendre heureuses. J’ai constaté que les personnes qui exigent généralement beaucoup d’attention veulent tout contrôler. Elles ne s’intéressent pas à vous ; elles s’intéressent à ce que vous pouvez faire pour elles. Ce qui leur importe, c’est comment vous pouvez améliorer leur vie ou satisfaire leur désir. Si vous vous tombez dans le piège d’essayer de faire leur bonheur, vous serez non seulement fatigué et épuisé, mais frustré. Il y a presque un mois, j’ai consolé un couple. Depuis qu’ils sont ensemble, j’étais toujours disponible quand ils avaient besoin de quelque chose, j’étais invariablement gentil et généreux, mais ils ne le voyaient pas. Ils trouvaient toujours une raison de se plaindre, de critiquer, de juger ou de me faire sentir coupable, comme si je n’en faisais pas assez pour leur manifester l’amour. Ils m’ont appelé pour la première fois quand je suis allé compatir aux malheurs qui a frappé la famille du mari pour me dire merci et me dire même de ce que les gens ont témoigné quand j’ai prêché l’Evangile au cours de ce deuil, alors que pour d’autres faits qui se sont passés et qui ne le concernaient pas, ils ne l’ont jamais fait. Étonnamment, un jour donc cinq jours après leur propre témoignage, quand j’ai partagé le rhema du jour à propos du ministère de prophète et d’évangéliste, c’est comme s’ils sont les seuls à exercer ce ministère dans le monde entier, ils m’ont jugé (et ce n’est pas la première fois), dans leur message intitulé « je suis désolé » du samedi 26 janvier 2013, au point que j’ai laissé à Dieu seul me faire justice. Dieu se range toujours du côté de ce qui est juste. Quand j’ai vu leur message, j’ai compris qu’ils exigeaient trop d’attention et que je n’étais pas responsable de leur bonheur. Je ne pouvais pas les obliger à m’aimer. Je ne pouvais pas les obliger à faire preuve de gratitude. Il me fallait courir ma propre course et refuser de les laisser éroder ma joie, bien que je sois conscient de ma responsabilité de prendre soin des brebis du Seigneur pour lesquels Il me demandera des comptes. Les conducteurs ont à cœur le bien des âmes et le souci du troupeau, que la soumission et l’obéissance spirituelles sont recommandées aux brebis. La Bible prévoit une saine discipline qui,dans certains cas, s’impose et qui ne peut être appliquée que par les conducteurs qui ne sont pas des personnes établies par d’autres hommes, mais suscités et qualifiés par Dieu Lui-même. Je pouvais resté leur ami ou collègue même s’ils ne voulaient plus faire le voyage avec moi, mais j’ai pris du recul, tant qu’on m’a traité de Bélial (le croyant est appelé « Christ » et l’incroyant « Bélial selon 2 Corinthiens 6 :15), alors que c’est le pasteur Kapitao qui les amené à Christ et baptisé d’eau par immersion et ayant d’ailleurs été un canal de bénédiction pour le voyage de la femme auprès de son mari comme ils vivent ensemble actuellement à l’étranger. Je les ai laissés s’occuper de faire leur propre bonheur. Cette décision m’a rendu très heureux ! C’est très libérateur d’agir ainsi. Certains se servent de vous pour obtenir ce qu’ils veulent. Le véritable ami comprend. C’est très libérateur de comprendre qu’on n’est pas forcé de faire le bonheur d’autrui. Mais surtout, je crois vraiment que si l’on consacre sa vie à essayer de faire plaisir aux autres, on n’est pas en mesure d’accomplir son destin divin. Que ce moment soit un point tournant dans votre vie. Si vous avez toujours vécu pour faire plaisir aux autres, ou si vous essayez constamment de régler leurs problèmes, cessez d’assumer ces fausses responsabilités. Bien sûr, vous pouvez tendre la main. Vous pouvez être bienveillant et faire preuve de compassion. Mais assurez-vous d’abord de faire preuve de votre propre bonheur. Après Dieu, c’est vous la priorité. Mon ami, si vous courez votre propre course et ne laissez personne vous manipuler et vous contrôler, non seulement vous vivrez moins de stress et vous aurez plus de temps et d’énergie, mais selon moi, vous serez plus heureux, et libre de concrétiser le meilleur plan que Dieu a pour vous. Assumez la responsabilité de votre bonheur. Que Dieu vous bénisse.
De la part du pasteur millionnaire, Coach Dr. Kapitao Mbombe, Mentor !
Numéro de contact : 243999937079 – 243895557042 et Skype : antoine.kapitao1
E-mail : eatt_rhema@yahoo.fr
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